En un coup d’œil :
- Diagnostic de cancer du sein avec carcinome canalaire invasif de stade 1
- Régime médicamenteux : AC / Taxol
- 95 % des cheveux sont épargnés
Dina a 59 ans et a pris sa retraite l’année dernière après une carrière réussie dans les assurances. Elle était prête à profiter de sa retraite avec son mari depuis 33 ans lorsqu’on lui a diagnostiqué un cancer du sein de type carcinome canalaire invasif.
Le diagnostic de Dina
« Lorsque j’ai appris que j’avais un cancer du sein, je peux honnêtement dire que je n’ai jamais eu peur de l’issue et que je n’ai toujours pas peur », explique Dina. « Heureusement, mon cancer du sein a été détecté au stade 1 et on m’a dit qu’il pouvait être traité et guéri.
« Je suis une personne très positive et j’ai trop de choses pour lesquelles me battre, une retraite longue et heureuse, par exemple. Alors je sais que je vais botter les fesses au cancer. Ce qui me faisait le plus peur, c’était l’idée de perdre mes cheveux à cause de la chimio ».
Le traitement de Dina
« Mon premier plan de traitement ne prévoyait pas de chimiothérapie. J’étais tellement reconnaissante, non seulement parce que je n’aurais pas à soumettre mon corps à ce traitement, mais aussi parce que je ne perdrais pas mes cheveux.
« Malheureusement, la nuit précédant ma tumorectomie, mon oncologue m’a appelée pour me dire que l’un des tests indiquait qu’il y avait plus de 20 % de risques que le cancer se métastase à l’avenir. Elle m’a recommandé une chimiothérapie, qui réduirait considérablement le risque ».
L’oncologue de Dina a prescrit quatre cycles de chimiothérapie AC toutes les deux semaines pendant huit semaines, suivis de 12 traitements hebdomadaires de Taxol. La pire crainte de Dina s’est réalisée.
« Seize semaines de chimiothérapie avec les médicaments les plus puissants. J’allais à coup sûr perdre mes cheveux 14 jours seulement après le début du traitement.
« Il peut sembler étrange que le fait de garder mes cheveux ait été une telle priorité pour moi lorsque j’ai été confrontée à un cancer du sein », déclare Dina. « Les gens sont bien intentionnés lorsqu’ils vous disent d’adopter le look sans cheveux et que la chose la plus importante est votre santé. C’est évidemment le cas. Mais j’ai senti qu’il était important de sauver mes cheveux, non seulement pour mon apparence, mais aussi pour mon bien-être mental ».
L’expérience de Dina en matière de refroidissement du cuir chevelu
Dès que j’ai su que je devais subir une chimiothérapie, je me suis immédiatement mise en mode « garder mes cheveux ». Une amie m’a suggéré d’envisager le refroidissement de mon cuir chevelu. Elle avait réussi à sauver ses cheveux lors d’une chimiothérapie l’année précédente. Lorsque j’ai posé la question à l’équipe d’oncologie de mon hôpital de traitement, elle m’a immédiatement recommandé Penguin.
Le mari de Dina a joué le rôle d’assistant. « Mon INCROYABLE mari a été formé le premier jour de ma chimiothérapie par un représentant génial de Penguin Cold Cap. Il s’est ensuite chargé de me placer les bonnets pendant les 15 séances de chimiothérapie qui ont suivi.
« Il a été incroyablement diligent, changeant mon bonnet toutes les 25 minutes et s’assurant que le bonnet était correctement fixé sur mon cuir chevelu afin d’en tirer le meilleur parti.
« On nous a dit de commencer le processus des bonnets avant ma perfusion de chimiothérapie pour s’assurer que mon cuir chevelu était correctement refroidi avant que les médicaments chimiothérapeutiques ne pénètrent dans mon corps. Nous avons ensuite continué à placer les bonnets, pendant une période recommandée par mon représentant, pour donner aux médicaments de chimiothérapie une chance de se diluer.
« Mon représentant Penguin Cold Cap m’a également donné beaucoup d’autres astuces et conseils sur la gestion de mes cheveux pendant et après le traitement afin de minimiser la perte de cheveux. Aujourd’hui encore, près de sept mois plus tard, je me lave les cheveux avec de l’eau froide versée dans des bouteilles d’eau au-dessus de ma tête, plutôt qu’avec la pomme de douche, afin de continuer à renforcer mes cheveux. Je n’ai toujours pas utilisé de produit sur mes cheveux, ni fait de coupe ou de coloration depuis ma chimio.
« Mais j’ai encore tous mes cheveux. En fin de compte, je crois vraiment que suivre TOUTES les directives données par votre représentant Penguin Cold Cap est primordial pour réussir, je n’insisterai jamais assez sur ce point.
Dina dit que rien ne peut vraiment vous préparer à cette expérience. « Cela demande de l’engagement et de la persévérance, c’est froid, mais en fin de compte, cela valait la peine de porter jusqu’à la dernière couche de vêtements et de couvertures chaudes pour conserver mes cheveux ».
Les conseils de Dina pour le refroidissement du cuir chevelu
– Suivez à la lettre les instructions de votre représentant Penguin
– Une boule de coton dans chaque oreille les protégera du froid.
– Une brosse humide est encore plus efficace qu’un peigne à dents larges
– Gardez votre sens de l’humour. J’ai partagé des photos de moi en train de porter les bonnets réfrigérants depuis le siège de perfusion, beurk !
– Rédigez un journal de votre chevelure chaque semaine. Cela m’a aidé à montrer ma perte de cheveux minime à ma famille et à mes amis.
– Utilisez le mantra de Dina : Prières pour les cheveux !
Les résultats de Dina
« J’ai gardé au moins 95 % de mes cheveux, même si j’ai suivi l’un des régimes de chimiothérapie les plus puissants », explique Dina.
« Je recommanderais donc sans hésiter Penguin Cold Caps. Le processus est incroyable et fonctionne vraiment. J’aimerais que tout le monde ait l’opportunité de bénéficier du refroidissement du cuir chevelu. J’aime que Penguin Cold Caps redonne le contrôle aux patients atteints de cancer. Nous pouvons maintenant choisir d’épargner nos cheveux pendant une chimiothérapie.